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Renforcer votre énergie vitale avec des produits naturels
Avez-vous des problèmes de santé ou une maladie et souhaitez-vous de préférence guérir en utilisant des produits naturels et des conseils alimentaires ?
Avez-vous, vous ou votre enfant, une maladie difficile à soigner ou des symptômes qui reviennent régulièrement? Prenez vous déjà des médicaments et souhaitez-vous essayer de guérir avec des produits naturels, et pouvoir diminuer progressivement vos médicaments en accord avec votre médecin ? Ressentez-vous des effets secondaires de médicaments ou vaccins, ou souhaitez-vous les éviter ? Etes-vous fatigué, votre système immunitaire est-il affaibli ? Ou bien avez-vous, vous-même ou votre enfant, du mal à vous détendre et à vous concentrer ? Souhaitez-vous éviter de prendre des médicaments testés sur des animaux et dont la production entraine beaucoup de pollution? Alors l’homéopathie classique et les conseils et complements alimentaires sont les solutions pour vous! Homeopathie Classique et complements alimentaires : une combinaison optimale !En combinant un traitement homéopathique et des conseils et complements alimentaires, mon experience est que je peux offrir les meilleurs résultats à mes patients. L’homéopathie classique est une thérapie très puissante qui selon moi peut guérir ou attenuer les symptomes de nombreuses maladies, même dites ‘ incurables'.
Néanmoins, si vous avez des carences en certains minéraux ou vitamines, une flore intestinale perturbée par des médicaments ou antibiotiques, des intestins rendus poreux par le stress ou des médicaments en particulier les antidouleurs, ou tout simplement un système immunitaire affaibli, il est nécessaire de prendre des plantes, épices, vitamines ou minéraux, probiotiques, huiles essentielles ou autres compléments alimentaires pour restaurer votre sante. Par ailleurs une alimentation optimale, basée sur des conseils alimentaires spécialement adaptés pour vous, est la base d’une bonne santé. Sur le moyen ou long terme, le traitement homéopathique va faire en sorte de renforcer votre système immunitaire et que celui-ci ne soit plus affaibli par exemple par le stress. Si vous avez par exemple des allergies importantes, je vous donnerai dans un premier temps des plantes ou compléments alimentaires pour soulager rapidement vos symptômes ainsi que des conseils alimentaires, pendant que l’homéopathie agira pour vous rendre moins allergique, afin que vous puissiez petit à petit supprimer les plantes et remanger de tout. Je travaille souvent de cette façon, par exemple pour les douleurs ou inflammations articulaires ou générales, les problèmes de peau, le syndrome métabolique ou résistance à l’insuline, les troubles de la glande thyroïde, l’hypertension artérielle ou l’athérosclérose, les problèmes d’acidité gastrique ou toutes les infections virales, bactériales, parasitaires ou mycosiques.
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Definition de l' homeopathie uniciste sur le site de l' INHF
L’Institut National Homéopathique Français donne une description détaillée de l’homéopathie uniciste, du déroulement des consultations, etc.. Vous trouverez ces informations sur le lien : http://www.inhfparis.com/homeopathie-uniciste/pr%C3%A9sentation-g%C3%A9n%C3%A9rale
Voici une copie de quelques passages principaux : Exposée pour la première fois en 1796 par un médecin allemand, Samuel Hahnemann (1755-1843), l’homéopathie est une façon différente d’aborder la médecine. Ses principes, la conception de la maladie et la manière de comprendre le patient dans ses particularités en font toute l’originalité. LES PRINCIPES FONDAMENTAUX En homéopathie, le choix d’un traitement s’effectue selon trois principes fondamentaux : similitude, globalité et individualisation. Quant aux remèdes homéopathiques, leur préparation est bien spécifique : ils sont « dilués et dynamisés ». La loi de similitude Le premier principe est la « loi des semblables » ou « loi de similitude » : « toute substance capable de provoquer chez l’homme sain et sensible un ensemble de symptômes est capable, à dose extrêmement faible (infinitésimale), de faire disparaître un ensemble de symptômes semblables chez l’homme malade ». Prenons l’exemple du café : chez des sujets sensibles à son action, sa trop grande consommation provoque une insomnie, une excitation intellectuelle et des palpitations. Si ces mêmes symptômes sont présents chez une personne malade, le café à dose infinitésimale, dénommé « Coffea », sera l’un des médicaments à envisager. Une conception globale de la maladie Pour l’homéopathe, la maladie est consécutive à une rupture de l’équilibre énergétique qui touche d’emblée la totalité de l’individu. L’être humain est un ensemble indivisible, corps et esprit sont constamment interdépendants. Les symptômes pour lesquels le patient consulte sont à intégrer dans cette cohérence d’ensemble. L’individualisation de chaque patient Chaque patient vit ses troubles à sa façon, suivant un mode qui lui est personnel et original. Il s’agit alors de trouver le remède du patient, et pas seulement celui de sa pathologie. A diagnostic identique, malade différent, remède différent ! Ces principes fondamentaux sont issus d’une démarche expérimentale stricte et d’observations cliniques minutieuses. La loi de similitude est à la base de la médecine homéopathique. C’est ce qui la distingue de toutes autres méthodes thérapeutiques existantes, qu’il s’agisse de la médecine « conventionnelle » ou des autres pratiques « alternatives ». ------------------------------------------------------------------------------------------------------------- UNE DÉMARCHE EXPÉRIMENTALE RIGOUREUSE L’un des mérites d’Hahnemann a été de démontrer expérimentalement la loi des semblables et de fixer les modalités précises de son application. La loi de similitude et la conception homéopathique de la maladie ne sont pas nées par hasard, elles sont le fruit d’observations minutieuses et répétées. Démonstration de la loi de similitude 400 ans avant J.C., Hippocrate, le père de la médecine occidentale, avait énoncé que les maladies pouvaient être guéries soit par les contraires, soit par les semblables. Au XVe siècle, Paracelse utilisait la loi des semblables pour définir sa « théorie des signatures », basée sur l’analogie entre l’apparence d’une plante et ses propriétés thérapeutiques. Par exemple, la chélidoine, dont le suc est jaune, était censée soigner les pathologies de la vésicule biliaire en raison de la couleur jaune de la bile. Leipzig, 1790. Voilà plusieurs années que Samuel Hahnemann a abandonné l’exercice de la médecine. Comment ce praticien, estimé de sa clientèle et de ses confrères, marié et père de famille, a-t-il pu renoncer au brillant avenir que tous lui prédisaient ? Ce revirement est celui d’un homme en quête de vérité. Horrifié par les dégâts que causent les traitements en vigueur (notamment les saignées), il cesse de donner des soins. Maîtrisant six langues, Samuel survit grâce à la chimie et à la traduction d’ouvrages médicaux et scientifiques. En cette année 1790, Hahnemann traduit un traité de thérapeutique, la « Materia Medica » du médecin écossais William Cullen. Au chapitre consacré à l’écorce de quinquina, Cullen parle de ses effets sur la « fièvre intermittente des marais » (le paludisme). Or, les effets toxiques du quinquina offrent une étrange ressemblance avec les symptômes de la maladie qu’il est censé soigner. Hahnemann décide alors de comprendre l’action de la substance en absorbant lui-même de fortes doses de quinquina. Il constate alors qu’il présente tous les symptômes caractéristiques de la fièvre intermittente. En outre, les paroxysmes de fièvre s’arrêtent spontanément dès qu’il arrête la prise de quinquina et ne se renouvellent que s’il en reprend une dose. Il vérifie la reproductibilité du phénomène en faisant absorber du quinquina à ses proches ! S’agit-il d’une réaction spécifique à cette substance, ou bien d’une loi beaucoup plus large et applicable à d’autres ? Pour en avoir le cœur net, Hahnemann généralise l’expérience en testant sur des personnes en bonne santé d’autres substances aux propriétés thérapeutiques connues. D’expérience en expérience, ce qu’il avait pressenti avec le quinquina se confirme. Dès lors, il va plus loin : il expérimente l’absorption de substances apparemment dénuées de propriétés thérapeutiques. Un grand nombre de substances sont ainsi expérimentées grâce à un petit groupe de volontaires. Hahnemann observe et note scrupuleusement les effets qu’elles déclenchent sur des individus en bonne santé : ce seront les premières « pathogénésies » qui formeront les premiers recueils de « matière médicale ». Il cherche ensuite à vérifier que les produits qui ont provoqué des symptômes particuliers chez un individu sain sont capables de guérir des troubles semblables chez un sujet malade. Validation de la loi de similitude Hahnemann voit son intuition couronnée de succès : « la loi des semblables » est validée. Tout en poursuivant ses travaux, il renoue avec la pratique médicale. En 1796, après avoir multiplié les expérimentations et guéri des malades suivant ce protocole, il publie un « Essai sur un nouveau principe pour découvrir les vertus curatives des substance médicinales ». Cette parution marque la date de naissance de l’homéopathie, du grec « homoios » (semblable) et « pathos » (souffrance). Hahnemann crée aussi le mot « allopathie », du grec « allos » (différent) et « pathos » (souffrance). Tout en expérimentant, Samuel Hahnemann affine sa méthodologie. Il constate que chez l’homme en bonne santé, les substances expérimentées peuvent produire des symptômes toxicologiques gênants ; et, chez les patients, que les substances prescrites selon la loi de similitude provoquent parfois une aggravation sérieuse des symptômes avant qu’il y ait amélioration. Il décide alors de diminuer progressivement les quantités, puis de les diluer pour arriver aux doses les plus faibles possibles (infinitésimales). Mais il constate rapidement que les remèdes simplement dilués sont moins opérants, alors qu’ils deviennent très efficaces lorsqu’ils ont secoués énergiquement à chaque dilution. Tout se passe comme si la puissance énergétique du produit était potentialisée : c’est la « dynamisation ». Conception globale de la maladie Hahnemann est un chercheur déterminé et un fin observateur. Il constate que, pour être efficace, le remède doit être prescrit sur l’ensemble des symptômes caractéristiques du patient. Il parvient ainsi à dégager une vision nouvelle pour l’époque : la maladie est globale et s’exprime de façon personnelle selon chaque malade. Dans « l’Organon de l’Art de guérir »(1810), il expose avec précision cette conception et les principes de la méthode homéopathique. D’emblée, la maladie touche l’individu dans sa globalité. Elle résulte d’une rupture d’équilibre de « l’énergie vitale ». L’ensemble des symptômes observés sont l’expression visible de cette perturbation énergétique profonde. Toutes les pathologies sont reliées entre elles, quelles que soient leurs localisations et même si elles n’ont aucun rapport apparent, avec parfois des années d’écart entre leurs manifestations. Hahnemann est aussi un précurseur : des années d’observations minutieuses l’ont conduit à dégager trois grands types de terrains qui prédisposent l’individu à certains troubles pathologiques (« Traité des Maladies Chroniques », 1828). C’était il y a deux siècles, au temps des saignées ! On connait aujourd’hui l’importance des terrains et des prédispositions génétiques dans la survenue et le regroupement de certaines pathologies. Pour Hahnemann, la maladie est un processus dynamique de même que la guérison. La vertu des médicaments repose sur leur capacité à faire naître des symptômes semblables à ceux de la maladie à traiter. Guérir passe par une réaction salutaire de l’individu malade au contact du remède qui lui est semblable. ------------------------------------------------------------------------------------------------------------- HOMÉOPATHIE : UNE MÉDECINE DIFFÉRENTE Le médicament homéopathique est choisi d’après les réactions de chacun face à sa maladie, et non d’après le nom de l’affection : c’est l’individualisation. De plus, il est indiqué par l’ensemble des symptômes caractéristiques du patient : c’est la globalité. Dès lors, on devine les divergences entre homéopathie et allopathie quant à la façon de concevoir la maladie… La médecine allopathique cherche à identifier les pathologies, puis à les classer en fonction de leurs causes : angines microbiennes, eczéma de contact… Elle explique les différentes maladies en fonction des dernières théories scientifiques en vigueur. Toute différente est l'homéopathie : le nom de l’affection est tout à fait insuffisant pour choisir parmi plusieurs centaines de remèdes. Les différences entre allopathie et homéopathie se retrouvent aussi en matière de traitement. L’allopathie est une médecine des contraires : guérir signifie faire disparaître le plus rapidement possible les symptômes gênants ; la prescription sera généralement « standardisée », les quantités seront adaptées, mais avec un risque d’effets secondaires. En homéopathie, le symptôme pathologique n’est pas la maladie, il n’est que la partie apparente de l’iceberg. L’homéopathe uniciste prescrit un seul remède à la fois, choisi d’après les réactions personnelles du patient. Son action a pour but de mobiliser les forces réactionnelles de l’organisme qui ainsi éliminera ses symptômes de lui-même. La guérison homéopathique n’est pas seulement la disparition de la pathologie en cause, elle doit s’accompagner d’une amélioration du patient dans sa globalité, énergie et mental compris. Après la prise d’un remède, ses effets continuent, tout comme un satellite poursuit sa trajectoire après avoir été placé sur orbite. Tout se passe comme si le médicament homéopathique envoyait à l’organisme une information cibléedans un langage commun. Si ce dernier est reconnu par le patient, il met en route ses processus de guérison. Dans le cas contraire, il n’y a aucune réponse de sa part et le remède est inefficace. S’il est partiellement entendu, l’amélioration sera incomplète et n’intéressera qu’une partie de l’organisme. Definition ' fair' ou equitable de l' homeopathie!
Wikipédia donne depuis plusieurs dizaines d’années une définition biaisée de l’homéopathie, en affirmant par exemple que l’efficacité de l’homéopathie n' est pas démontrée scientifiquement, ce qui est faux! Toutes les tentatives pour mettre à jour cette définition avec preuves apportées ont échoué. Pour remédier à cette situation, des scientifiques se sont réunis pour créer une version ' fair' de Wikipédia. Vous trouverez sur ce lien la définition ' fair' de l’homéopathie. Sur le site on trouve aussi plusieurs définitions ' fair' sur des sujets liés.
https://www.freewiki.eu/en/index.php?title=Homeopathy Par ailleurs, voici une copie partielle de la définition de l' homéopathie (en anglais) au cas où ce site serait un jour bloqué: Homeopathy or homoeopathy — from the Greek hómoios (similar) and páthos (suffering) - is a therapeutic system based on four principles that work together in synergy. Homoeopathy may be defined as a minute amount of a potentised substance, that will cure a totality of symptoms uniquely similar to those which it can cause in healthy people. The four principles are:
The first principle, ‘Like cures like’, means using a particular substance to cure a disease pattern similar to the one it can create in a relatively healthy human being. This disease pattern is ascertained by ‘provings’, literally a test of the substance on volunteers, who will meticulously record all the symptoms they experience during this experiment. It is the science and art of the homoeopathic practitioner to match the proving picture to the patient as accurately as possible. The second principle, Totality, means observing the whole symptom picture, which includes mental, emotional and physical symptoms. The practitioner perceives the pattern that runs through these symptoms, and combines them into one meaningful picture. There are a variety of different systems or tools that may help the practitioner to perceive the totality of symptoms. The third principle, Individuality, means that no matter what the disease name or type, each person needs a medicine or remedy to match their own particular set of symptoms. Thus ten people suffering from migraines may receive ten different remedies depending on the individual headaches and general symptoms. A patient may have a headache on the left or right, at 6am or 3pm, burning or sharp pain, with or without visual disturbance etc. Each will receive a different remedy. The fourth principle is ‘Minimum dose’ or ‘Less is more.’ This means that smaller doses are more effective than larger ones, and minute quantities are used, often diluted below Avogadro’s number. This principle is often misunderstood by those unfamiliar with homoeopathy. It is also the most frequently attacked by so-called "skeptics", while they ignore the other three principles. However these attacks are based on the erroneous assumption that this principle means merely diluting the remedy. In addition to dilution, the remedy is vigorously succussed or agitated at each stage of dilution. It is only when the remedy is succussed that it becomes more effective. This process is called potentisation because it renders the remedy more potent. The mechanism by which this works is not known, but it is clearly different then just diluting the remedy and is a well-known mechanism in chemistry. In order for the potentised remedy to be effective, it must be accurately prescribed, based on the first three principles of Similarity, Totality and Individuality. When it does match these criteria then the potentised dose will act like a catalyst, stimulating the organism to activate its innate healing powers in the most effective direction for cure. It might be said that the accurate homoeopathic prescription provides information to the person rather than a chemical quantity. Much like a software program, the information is not tangible but provides the correct program that stimulates the organism into healing. Simply buying a potentized remedy off the shelf does not make it homoeopathic. It is only when these four principles are fulfilled and work in synergy that a remedy is homoeopathic.[1] This page has been retrieved from the Webarchive, read on 18.7.18 as an archived website of the former site Wiki4CAM as of the date of 25.10.2012. This site has been run by Manish Bhatia until it was destroyed by materialist fanatics and had to be given up. We replay some of their good and informational pages. The links of this page often don't work and have to be renewed. Please help FreeWiki to adapt this archived page to normal use and to update and rewrite parts of it. Parts of this page may have already been changed and adapted. Homeopathic remedies are prepared by diluting drugs and other compounds into extremely small doses, which are then vigorously shaken ("succussed") in water or ethanol and finally dispensed in pills or liquid form. In 2010, an Indian team claimed to have found that commercially manufactured metal-derived high-dilution remedies contain nanoparticles of the metals and their aggregates.[1][2] The founder of modern homeopathy was a medical doctor, many modern medical practitioners all over the world prescribe some homeopathic remedies, and most governments recognise homeopathy as legitimate treatment. The underlying concept of homeopathy is "like cures like" and is based on "the principle of similars", which asserts that substances known to cause particular symptoms can also, in low and specially prepared doses, help to cure diseases that cause similar symptoms, thus its derived name from the Greek hómoios (similar) and páthos (suffering). Remedies are prepared by a well defined process, which includes a trituration of the oroginal substance in lactose and following in their diluting into extremely small doses, while vigorously shaking them ("succussing") with each step of diluting in water or ethanol. They are then dispensed in pills, globules or liquid form. According to the homeopathic method this dilution and succussion process is what gives the remedies their potency. Some principles of homeopathy have been utilized in various forms in various medical systems for thousands of years in many diverse cultures[3], but they were first methodically set out by a German physician, Samuel Hahnemann (1755–1843), who observed that a medicine sometimes evoked symptoms similar to those of the illness for which it was prescribed. Homeopaths point to a long safety record for their very dilute remedies. On the other hand, homeopaths assert that there are much greater risks in utilizing conventional medical treatments even when these treatments have been "scientifically verified" because medical history is replete with evidence that such verification changes dramatically with time. There are many clinical trials and studies which show that homeopathy is effective[3][4]. Contents [hide]
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